Qui aurait pu imaginer, un seul instant, que le Maroc connaîtrait un tel déchaînement de violences à l’occasion de manifestations organisées on ne sait par qui, sous des slogans de revendications sociales initialement présentées comme pacifiques ? Personne.
Les citoyens ne croient plus à la thèse de simples débordements imputables à des voyous et casseurs mus par un désir de vengeance contre une société qu’ils jugent coupable, contre un système judiciaire perçu comme corrompu et une police réputée répressive.
Les événements graves qui se déroulent sous nos yeux n’avaient plus été vécus dans le pays depuis ceux de 1981, déclenchés par l’augmentation du prix du pain.
Une fois encore, le tableau est sombre : un soulèvement nourri par la dégradation des conditions de vie, l’échec des politiques publiques en matière de santé et d’éducation, la cherté de la vie, les disparités et l’injustice sociales. Tout n’est pas imputable à l’actuel gouvernement, mais bien à la succession d’exécutifs insuffisamment performants.
Le bilan parle de lui-même : deux morts lors de l’attaque d’un poste de gendarmerie – tentative vaine de vol d’armes et de munitions –, près de 500 interpellations, plus de 300 blessés, dont un dans un état très grave, des dizaines d’éléments des forces de sécurité touchés, des véhicules saccagés et incendiés, des magasins et commerces pillés, une banque attaquée, et une inquiétude grandissante au sein de la population. Les actes criminels ont été commis par des bandes organisées, cagoulées et gantées pour ne laisser aucune empreinte, opérant de nuit afin de profiter du manque de visibilité. Improvisation, dites-vous ? Non. Tout porte à croire – et il faut s’y résoudre – que l’initiative de la génération Z n’a servi que de déclencheur à une vague de violences, de vols et de saccages d’inspiration exogène, malgré elle. Une vague qui a déferlé sur plusieurs villes et localités, y compris dans des zones peu connues du grand public mais protégées par l’État de droit. Certes, les forces de sécurité étaient sur le qui-vive et prêtes à répondre, bien que parfois dépassées par l’ampleur des attaques aveugles.
Reste une certitude : le discours royal d’ouverture de la session parlementaire, dans une semaine, pourrait traduire un durcissement si cette vague – ce « tsunami social » – se poursuit. Plus encore, il devrait annoncer des mesures radicales pour transformer en profondeur la gestion des affaires publiques et répondre directement aux revendications. Les prochains jours s’annoncent décisifs.
Par Jalil Nouri
Les partis politiques et le gouvernement sont responsables en premier lieu : grand déficit en termes de communication, lenteur dans la concrétisation des stratégies et programmes, nomination de ministres incompétents (allez protester à Rabat si vous n’êtes pas satisfaits…même un simple cadre n’osera pas le dire) , favoritisme dans les marchés; corruption… Sa Majesté le Roi que Dieu le Glorifie a tout résumé dans son dernier discours…un Maroc à deux vitesses ne génèrera que des climats de méprise et de marginalisation…Gouvernements SVP rendez les clés pour l’intérêt de notre cher Pays et on vous sera reconnaissant…
النظام المخزني الماسوني التلمودي الفاسد الذي يمثل الدولة العميقة المخزنية بالبلاد و المتكونة من حكومة المستشارين الساميين المنتمين للحركة الماسونية الصهيونية التلمودية همهم الوحيد هو الإنتقام من الشريحة المسلمة الكبرى في البلاد ومعاقبتهم اشد العقاب من حرمان من ابسط الحقوق الاجتماعية الحقيقية المشروعة و تفقير و نشر الفساد بشتى الوسائل والطرق و نشر الإباحية المطلقة والزندقة والمثلية ونشر ثقافة عبادة الطاغوت والشيطان من دون الله عن طريق إغراقهم في مشاريع الشيطان حتى يخرجوهم عن ملتهم الإسلامية
لا بد من تغيير هذه الخروقات الفضيعة و الأوضاع المزرية اللاأخلاقية التي يعيشها الشعب المغربي المسلم و لا بد من القيام ب عصيان مدني سلمي يعم يشل الحركة و لا يدخل الشعب بيوتهم حتى يسقط وكلاء الحركة الماسونية الصهيونية التلمودية الماسونية الشيطانية و يستعيد الشعب زمان اموره وتسقط الصهيونية المتوغلة في البلاد .
Il faut que le ROI intervient par la démission du gouvernement s’il y’a bien une démocratie sinon ça va continuer et cest pas très bon pour l’image du Maroc niveau international et surtout pour 2025 et 2030 no more comment