Le Premier ministre espagnol, Pedro Sánchez, a lancé vendredi un appel retentissant à la communauté internationale, exhortant à ne plus livrer d’armes à Israël. Lors d’une rencontre avec le pape François à Rome, le dirigeant espagnol a déclaré qu’il était crucial de « ne pas contribuer d’une manière ou d’une autre à l’escalade de la violence » qui ravage la région du Moyen-Orient, notamment à Gaza, en Cisjordanie et au Liban. Ce message s’inscrit dans une démarche visant à éviter l’intensification du conflit armé, particulièrement en mettant un terme aux exportations d’armements vers Israël.
Cette prise de position rejoint celle du président français Emmanuel Macron, qui avait également appelé à l’arrêt des livraisons d’armes à Israël, soulignant la nécessité d’apaiser une situation explosive. Cependant, ces appels ont suscité des réactions vives, notamment de la part du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui a qualifié ces déclarations de « honte ». Israël, actuellement engagé dans une guerre contre le Hamas à Gaza et contre le Hezbollah au Liban, voit ses opérations militaires intensifiées dans un contexte où la violence ne cesse de croître.
L’un des aspects les plus déchirants de cette escalade est l’impact disproportionné sur les civils, notamment les femmes et les enfants. Depuis le début des hostilités, les bombardements israéliens ont fait un nombre alarmant de victimes civiles dans la bande de Gaza. Les hôpitaux sont débordés par l’afflux de blessés, alors que les infrastructures essentielles, telles que les écoles, les logements et les installations sanitaires, sont détruites sous les frappes. Le lourd tribut payé par la population civile soulève des questions pressantes sur la légalité et la moralité de l’utilisation de certaines armes dans ces opérations militaires. Parmi les victimes, les enfants et les femmes représentent une grande part, exacerbant la crise humanitaire déjà dramatique dans cette enclave.
Alors que plusieurs pays occidentaux sont divisés sur la question des exportations d’armes à Israël, l’appel de Pedro Sánchez se démarque par son franc-parler et son approche diplomatique pour tenter de freiner l’expansion du conflit. Certains États, tels que le Royaume-Uni, ont déjà pris des mesures pour suspendre certaines licences d’exportation d’armements vers Israël, citant des risques de violations du droit humanitaire international. En revanche, d’autres nations, comme l’Allemagne et les États-Unis, continuent à fournir des armes à Israël, suscitant des débats sur leur responsabilité dans l’escalade actuelle.
Ce conflit complexe, qui voit Israël affronter plusieurs fronts, y compris des tensions croissantes avec l’Iran, nécessite une réponse internationale urgente et coordonnée. Pour Pedro Sánchez, la cessation des livraisons d’armes est un premier pas indispensable pour désamorcer la situation et sauver des vies innocentes, prises en étau entre des forces en conflit.
Sincères et profondes salutation à toutes ces positions très honorables, très humanistes et très conformes à la légalité internationale ,prises par ce grand pays qui est le Royaume d’Espagne.
Bravo Espagne! Même lorsque des casques bleus de l’ONU sont pris pour cible et que leur matériel d’enregistrement est confisqué ou endommagé, et que deux soldats sont blessés, l’UE ne dit ni ne fait rien. Si un autre pays qu’Israël violait le droit international et assassinait délibérément des civils, la réaction serait immense. Israël menace la paix mondiale et les Américains ainsi que les gouvernements occidentaux continuent simplement d’envoyer de l’argent et des armes.
Il faut agir contre la génocide des PALESTINIENS, Israël à dépassé toutes les droits mondiaux et celle de civils