Une annonce immobilière publiée sur Facebook a récemment déclenché une vague d’indignation et de moqueries au Maroc, illustrant comment une formulation maladroite peut rapidement se transformer en controverse sur les réseaux sociaux. L’annonce en question, postée sur une page dédiée à l’immobilier à Kénitra, proposait la vente d’une école privée, mais sa formulation a laissé entendre que les élèves faisaient partie intégrante de la transaction.
Le texte de l’annonce, comme suit : « École privée à vendre à Kénitra, d’une superficie de 412 mètres carrés. Et 373 élèves… Dispose de 3 façades. Avec un revenu net mensuel de 12 millions… Prix : 640 millions ». Cette formulation ambiguë a immédiatement capté l’attention des internautes, provoquant un tollé sur les plateformes de médias sociaux.
La réaction du public a été vive et variée. De nombreux utilisateurs ont réagi avec humour, soulignant l’absurdité de la situation par des commentaires sarcastiques. D’autres, en revanche, ont exprimé leur indignation, jugeant l’annonce offensante et inacceptable. Certains sont même allés jusqu’à accuser l’annonceur de promouvoir la traite des êtres humains, bien que cette interprétation soit probablement excessive et ne reflète pas l’intention réelle de l’annonce.
Il est important de noter que cette controverse résulte vraisemblablement d’une erreur de rédaction plutôt que d’une intention malveillante. L’annonceur cherchait probablement à mettre en avant le nombre d’élèves inscrits comme un atout de l’établissement, indiquant ainsi son potentiel commercial. Cependant, la formulation maladroite a donné lieu à une interprétation bien différente de celle initialement prévue.