L’Arabie saoudite doit accueillir un sommet de cinq pays arabes pour élaborer une réponse commune au plan de Donald Trump prévoyant de vider la bande de Gaza de ses habitants et de la reconstruire sous contrôle américain.
Si Israël s’est félicité de cette initiative, cette annonce avait provoqué un véritable tollé dans plusieurs pays arabes mais aussi dans des capitales occidentales.
En réaction, l’Arabie saoudite doit accueillir le 20 février, une semaine avant le sommet prévu le 27 février en Égypte, une rencontre avec l’Égypte, le Qatar, les Émirats arabes unis et la Jordanie pour élaborer une réponse commune à ce plan de Donald Trump.
Selon une source saoudienne, le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas ou son Premier ministre, Mohammad Mustafa, devraient aussi y participer.Il est vraisemblable que ces pays vont, à cette occasion rejeter en bloc le « déplacement des Gazaouis » et de leur « transfert » hors de ce territoire, selon la même source.
Les pays arabes avaient manifesté, unanimement, leur rejet de ce plan qui prévoit d’installer les habitants de la bande Gaza essentiellement en Jordanie et en Égypte.
Face à cette réaction, le secrétaire d’État américain Marco Rubio a déclaré, jeudi, que les États-Unis étaient ouverts aux propositions des pays arabes sur Gaza, après le plan de Donald Trump.
Avant de partir pour une tournée au Moyen-Orient, le chef de la diplomatie américaine a dit espérer pouvoir discuter de ces idées lors de sa visite en Arabie saoudite, aux Émirats arabes unis mais aussi en Israël, après des échanges avec des dirigeants de l’Égypte et de la Jordanie à Washington.
Pas de retour possible pour les Palestiniens qui quitteraient Gaza, selon Trump
Cependant, comme à son habitude Donald Trump laisse peu de marges dans les discussions. Il a menacé l’Égypte et la Jordanie de répercussions si ces deux proches partenaires des États-uniens n’acceptaient pas d’accueillir les plus de deux millions de Gazaouis.
« Tous ces pays expliquent à quel point ils se soucient des Palestiniens mais aucun d’entre eux ne veut en accueillir. Aucun d’eux n’a jamais fait quoi que ce soit pour Gaza de ce point de vue là », a ajouté Marco Rubio.
Sauf que la Jordanie accueille déjà plus de deux millions de réfugiés palestiniens et près de la moitié des 11 millions d’habitants du royaume sont d’origine palestinienne.
De son côté, l’Égypte a annoncé récemment qu’elle présenterait une « vision globale » pour la reconstruction de Gaza de manière à garantir que les Palestiniens restent sur leur terre. Le pays a obtenu, selon des sources diplomatiques, un accord de principe sur la tenue d’une réunion ministérielle extraordinaire de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) qui réunit 57 membres.
La rencontre à Riyad va souligner le rejet d’un « déplacement des Gazaouis » et de leur « transfert » hors de ce territoire, selon la même source. Cette source, qui a requis l’anonymat, a ajouté que le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, ou son Premier ministre, Mohammad Mustafa, participeraient au sommet de Riyad.
Solution arabe alternative
Après son appel téléphonique surprise avec M. Poutine, M. Trump a déclaré que les deux dirigeants allaient « probablement se rencontrer pour la première fois en Arabie saoudite ».
L’Arabie saoudite, qui avait participé à des pourparlers sous l’égide des États-Unis en vue d’une normalisation des relations avec Israël, a également adopté une ligne dure. Le ministère des Affaires étrangères du royaume a réitéré l’engagement de Riyad en faveur d’un État palestinien et dénoncé toute tentative de «déraciner les Palestiniens».
Et le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane a clairement indiqué que tout accord de normalisation avec Israël dépendait de la création d’un État palestinien.
Le royaume saoudien, qui joue un rôle de plus en plus important sur la scène internationale, a indiqué vendredi se réjouir à l’idée d’accueillir une telle rencontre, sans toutefois confirmer sa tenue ni mentionner de date.
L’Arabie saoudite cherche, avec le sommet du 20 février, à souligner l’importance de son rôle dans tout règlement du conflit israélo-palestinien.
Le royaume cherche « à affirmer qu’il soutient l’Egypte et la Jordanie, les pays arabes menacés par les déplacements »La réunion vise à établir « les bases d’une solution arabe alternative à la question des déplacements ».
Parmi les participants attendus, le Qatar et l’Egypte sont, avec les Etats-Unis, les pays médiateurs entre Israël et le Hamas dans leur conflit à Gaza.
L’Arabie saoudite doit accueillir un sommet de cinq pays arabes pour élaborer une réponse commune au plan de Donald Trump prévoyant de vider la bande de Gaza de ses habitants et de la reconstruire sous contrôle américain.
Si Israël s’est félicité de cette initiative, cette annonce avait provoqué un véritable tollé dans plusieurs pays arabes mais aussi dans des capitales occidentales.
En réaction, l’Arabie saoudite doit accueillir le 20 février, une semaine avant le sommet prévu le 27 février en Égypte, une rencontre avec l’Égypte, le Qatar, les Émirats arabes unis et la Jordanie pour élaborer une réponse commune à ce plan de Donald Trump.
Selon une source saoudienne, le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas ou son Premier ministre, Mohammad Mustafa, devraient aussi y participer.Il est vraisemblable que ces pays vont, à cette occasion rejeter en bloc le « déplacement des Gazaouis » et de leur « transfert » hors de ce territoire, selon la même source.
Les pays arabes avaient manifesté, unanimement, leur rejet de ce plan qui prévoit d’installer les habitants de la bande Gaza essentiellement en Jordanie et en Égypte.
Face à cette réaction, le secrétaire d’État américain Marco Rubio a déclaré, jeudi, que les États-Unis étaient ouverts aux propositions des pays arabes sur Gaza, après le plan de Donald Trump.
Avant de partir pour une tournée au Moyen-Orient, le chef de la diplomatie américaine a dit espérer pouvoir discuter de ces idées lors de sa visite en Arabie saoudite, aux Émirats arabes unis mais aussi en Israël, après des échanges avec des dirigeants de l’Égypte et de la Jordanie à Washington.
Pas de retour possible pour les Palestiniens qui quitteraient Gaza, selon Trump
Cependant, comme à son habitude Donald Trump laisse peu de marges dans les discussions. Il a menacé l’Égypte et la Jordanie de répercussions si ces deux proches partenaires des États-uniens n’acceptaient pas d’accueillir les plus de deux millions de Gazaouis.
« Tous ces pays expliquent à quel point ils se soucient des Palestiniens mais aucun d’entre eux ne veut en accueillir. Aucun d’eux n’a jamais fait quoi que ce soit pour Gaza de ce point de vue là », a ajouté Marco Rubio.
Sauf que la Jordanie accueille déjà plus de deux millions de réfugiés palestiniens et près de la moitié des 11 millions d’habitants du royaume sont d’origine palestinienne.
De son côté, l’Égypte a annoncé récemment qu’elle présenterait une « vision globale » pour la reconstruction de Gaza de manière à garantir que les Palestiniens restent sur leur terre. Le pays a obtenu, selon des sources diplomatiques, un accord de principe sur la tenue d’une réunion ministérielle extraordinaire de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) qui réunit 57 membres.
La rencontre à Riyad va souligner le rejet d’un « déplacement des Gazaouis » et de leur « transfert » hors de ce territoire, selon la même source. Cette source, qui a requis l’anonymat, a ajouté que le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, ou son Premier ministre, Mohammad Mustafa, participeraient au sommet de Riyad.
Solution arabe alternative
Après son appel téléphonique surprise avec M. Poutine, M. Trump a déclaré que les deux dirigeants allaient « probablement se rencontrer pour la première fois en Arabie saoudite ».
L’Arabie saoudite, qui avait participé à des pourparlers sous l’égide des États-Unis en vue d’une normalisation des relations avec Israël, a également adopté une ligne dure. Le ministère des Affaires étrangères du royaume a réitéré l’engagement de Riyad en faveur d’un État palestinien et dénoncé toute tentative de «déraciner les Palestiniens».
Et le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane a clairement indiqué que tout accord de normalisation avec Israël dépendait de la création d’un État palestinien.
Le royaume saoudien, qui joue un rôle de plus en plus important sur la scène internationale, a indiqué vendredi se réjouir à l’idée d’accueillir une telle rencontre, sans toutefois confirmer sa tenue ni mentionner de date.
L’Arabie saoudite cherche, avec le sommet du 20 février, à souligner l’importance de son rôle dans tout règlement du conflit israélo-palestinien.
Le royaume cherche « à affirmer qu’il soutient l’Egypte et la Jordanie, les pays arabes menacés par les déplacements »La réunion vise à établir « les bases d’une solution arabe alternative à la question des déplacements ».
Parmi les participants attendus, le Qatar et l’Egypte sont, avec les Etats-Unis, les pays médiateurs entre Israël et le Hamas dans leur conflit à Gaza.
L’Arabie saoudite doit accueillir un sommet de cinq pays arabes pour élaborer une réponse commune au plan de Donald Trump prévoyant de vider la bande de Gaza de ses habitants et de la reconstruire sous contrôle américain.
Si Israël s’est félicité de cette initiative, cette annonce avait provoqué un véritable tollé dans plusieurs pays arabes mais aussi dans des capitales occidentales.
En réaction, l’Arabie saoudite doit accueillir le 20 février, une semaine avant le sommet prévu le 27 février en Égypte, une rencontre avec l’Égypte, le Qatar, les Émirats arabes unis et la Jordanie pour élaborer une réponse commune à ce plan de Donald Trump.
Selon une source saoudienne, le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas ou son Premier ministre, Mohammad Mustafa, devraient aussi y participer.Il est vraisemblable que ces pays vont, à cette occasion rejeter en bloc le « déplacement des Gazaouis » et de leur « transfert » hors de ce territoire, selon la même source.
Les pays arabes avaient manifesté, unanimement, leur rejet de ce plan qui prévoit d’installer les habitants de la bande Gaza essentiellement en Jordanie et en Égypte.
Face à cette réaction, le secrétaire d’État américain Marco Rubio a déclaré, jeudi, que les États-Unis étaient ouverts aux propositions des pays arabes sur Gaza, après le plan de Donald Trump.
Avant de partir pour une tournée au Moyen-Orient, le chef de la diplomatie américaine a dit espérer pouvoir discuter de ces idées lors de sa visite en Arabie saoudite, aux Émirats arabes unis mais aussi en Israël, après des échanges avec des dirigeants de l’Égypte et de la Jordanie à Washington.
Pas de retour possible pour les Palestiniens qui quitteraient Gaza, selon Trump
Cependant, comme à son habitude Donald Trump laisse peu de marges dans les discussions. Il a menacé l’Égypte et la Jordanie de répercussions si ces deux proches partenaires des États-uniens n’acceptaient pas d’accueillir les plus de deux millions de Gazaouis.
« Tous ces pays expliquent à quel point ils se soucient des Palestiniens mais aucun d’entre eux ne veut en accueillir. Aucun d’eux n’a jamais fait quoi que ce soit pour Gaza de ce point de vue là », a ajouté Marco Rubio.
Sauf que la Jordanie accueille déjà plus de deux millions de réfugiés palestiniens et près de la moitié des 11 millions d’habitants du royaume sont d’origine palestinienne.
De son côté, l’Égypte a annoncé récemment qu’elle présenterait une « vision globale » pour la reconstruction de Gaza de manière à garantir que les Palestiniens restent sur leur terre. Le pays a obtenu, selon des sources diplomatiques, un accord de principe sur la tenue d’une réunion ministérielle extraordinaire de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) qui réunit 57 membres.
La rencontre à Riyad va souligner le rejet d’un « déplacement des Gazaouis » et de leur « transfert » hors de ce territoire, selon la même source. Cette source, qui a requis l’anonymat, a ajouté que le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, ou son Premier ministre, Mohammad Mustafa, participeraient au sommet de Riyad.
Solution arabe alternative
Après son appel téléphonique surprise avec M. Poutine, M. Trump a déclaré que les deux dirigeants allaient « probablement se rencontrer pour la première fois en Arabie saoudite ».
L’Arabie saoudite, qui avait participé à des pourparlers sous l’égide des États-Unis en vue d’une normalisation des relations avec Israël, a également adopté une ligne dure. Le ministère des Affaires étrangères du royaume a réitéré l’engagement de Riyad en faveur d’un État palestinien et dénoncé toute tentative de «déraciner les Palestiniens».
Et le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane a clairement indiqué que tout accord de normalisation avec Israël dépendait de la création d’un État palestinien.
Le royaume saoudien, qui joue un rôle de plus en plus important sur la scène internationale, a indiqué vendredi se réjouir à l’idée d’accueillir une telle rencontre, sans toutefois confirmer sa tenue ni mentionner de date.
L’Arabie saoudite cherche, avec le sommet du 20 février, à souligner l’importance de son rôle dans tout règlement du conflit israélo-palestinien.
Le royaume cherche « à affirmer qu’il soutient l’Egypte et la Jordanie, les pays arabes menacés par les déplacements »La réunion vise à établir « les bases d’une solution arabe alternative à la question des déplacements ».
Parmi les participants attendus, le Qatar et l’Egypte sont, avec les Etats-Unis, les pays médiateurs entre Israël et le Hamas dans leur conflit à Gaza.
L’Arabie saoudite doit accueillir un sommet de cinq pays arabes pour élaborer une réponse commune au plan de Donald Trump prévoyant de vider la bande de Gaza de ses habitants et de la reconstruire sous contrôle américain.
Si Israël s’est félicité de cette initiative, cette annonce avait provoqué un véritable tollé dans plusieurs pays arabes mais aussi dans des capitales occidentales.
En réaction, l’Arabie saoudite doit accueillir le 20 février, une semaine avant le sommet prévu le 27 février en Égypte, une rencontre avec l’Égypte, le Qatar, les Émirats arabes unis et la Jordanie pour élaborer une réponse commune à ce plan de Donald Trump.
Selon une source saoudienne, le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas ou son Premier ministre, Mohammad Mustafa, devraient aussi y participer.Il est vraisemblable que ces pays vont, à cette occasion rejeter en bloc le « déplacement des Gazaouis » et de leur « transfert » hors de ce territoire, selon la même source.
Les pays arabes avaient manifesté, unanimement, leur rejet de ce plan qui prévoit d’installer les habitants de la bande Gaza essentiellement en Jordanie et en Égypte.
Face à cette réaction, le secrétaire d’État américain Marco Rubio a déclaré, jeudi, que les États-Unis étaient ouverts aux propositions des pays arabes sur Gaza, après le plan de Donald Trump.
Avant de partir pour une tournée au Moyen-Orient, le chef de la diplomatie américaine a dit espérer pouvoir discuter de ces idées lors de sa visite en Arabie saoudite, aux Émirats arabes unis mais aussi en Israël, après des échanges avec des dirigeants de l’Égypte et de la Jordanie à Washington.
Pas de retour possible pour les Palestiniens qui quitteraient Gaza, selon Trump
Cependant, comme à son habitude Donald Trump laisse peu de marges dans les discussions. Il a menacé l’Égypte et la Jordanie de répercussions si ces deux proches partenaires des États-uniens n’acceptaient pas d’accueillir les plus de deux millions de Gazaouis.
« Tous ces pays expliquent à quel point ils se soucient des Palestiniens mais aucun d’entre eux ne veut en accueillir. Aucun d’eux n’a jamais fait quoi que ce soit pour Gaza de ce point de vue là », a ajouté Marco Rubio.
Sauf que la Jordanie accueille déjà plus de deux millions de réfugiés palestiniens et près de la moitié des 11 millions d’habitants du royaume sont d’origine palestinienne.
De son côté, l’Égypte a annoncé récemment qu’elle présenterait une « vision globale » pour la reconstruction de Gaza de manière à garantir que les Palestiniens restent sur leur terre. Le pays a obtenu, selon des sources diplomatiques, un accord de principe sur la tenue d’une réunion ministérielle extraordinaire de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) qui réunit 57 membres.
La rencontre à Riyad va souligner le rejet d’un « déplacement des Gazaouis » et de leur « transfert » hors de ce territoire, selon la même source. Cette source, qui a requis l’anonymat, a ajouté que le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, ou son Premier ministre, Mohammad Mustafa, participeraient au sommet de Riyad.
Solution arabe alternative
Après son appel téléphonique surprise avec M. Poutine, M. Trump a déclaré que les deux dirigeants allaient « probablement se rencontrer pour la première fois en Arabie saoudite ».
L’Arabie saoudite, qui avait participé à des pourparlers sous l’égide des États-Unis en vue d’une normalisation des relations avec Israël, a également adopté une ligne dure. Le ministère des Affaires étrangères du royaume a réitéré l’engagement de Riyad en faveur d’un État palestinien et dénoncé toute tentative de «déraciner les Palestiniens».
Et le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane a clairement indiqué que tout accord de normalisation avec Israël dépendait de la création d’un État palestinien.
Le royaume saoudien, qui joue un rôle de plus en plus important sur la scène internationale, a indiqué vendredi se réjouir à l’idée d’accueillir une telle rencontre, sans toutefois confirmer sa tenue ni mentionner de date.
L’Arabie saoudite cherche, avec le sommet du 20 février, à souligner l’importance de son rôle dans tout règlement du conflit israélo-palestinien.
Le royaume cherche « à affirmer qu’il soutient l’Egypte et la Jordanie, les pays arabes menacés par les déplacements »La réunion vise à établir « les bases d’une solution arabe alternative à la question des déplacements ».
Parmi les participants attendus, le Qatar et l’Egypte sont, avec les Etats-Unis, les pays médiateurs entre Israël et le Hamas dans leur conflit à Gaza.