Une initiative royale d’une grande portée humanitaire vient d’être mise en œuvre pour venir en aide à Iman, jeune femme victime d’une agression particulièrement traumatisante perpétrée par son ex-époux dans la ville de Taza. Selon des sources bien informées, l’Union Nationale des Femmes du Maroc a pris la victime sous sa protection directe, agissant conformément aux instructions expresses de Son Altesse Royale la Princesse Lalla Meryem, présidente de cette organisation.
Cette prise en charge s’inscrit dans un cadre médical de haut niveau avec la mise en place d’un protocole thérapeutique progressif et spécialisé. Iman a été admise dans une clinique de chirurgie esthétique réputée de Rabat où elle bénéficie des soins les plus avancés pour réparer les dommages considérables causés à son visage lors de cette agression d’une violence inouïe.
L’approche thérapeutique adoptée ne se limite pas aux seuls aspects médicaux mais englobe une dimension psychosociale fondamentale. Les assistantes sociales de la plateforme « Kolonamaak » (Nous sommes tous avec toi), structure rattachée à l’Union Nationale des Femmes du Maroc, assurent un suivi psychologique continu et un accompagnement social adapté aux traumatismes subis par la jeune femme.
Cette intervention s’articule autour d’une stratégie globale de réinsertion visant à permettre à Iman de retrouver sa place dans la société. L’Union Nationale des Femmes du Maroc mobilise l’ensemble de ses mécanismes institutionnels pour garantir son intégration socio-économique future, lui offrant ainsi les moyens de reconstruire sa vie après cette épreuve dévastatrice.
Cette initiative témoigne de l’engagement constant de la famille royale et des institutions nationales dans la protection des femmes victimes de violences. Elle illustre également la capacité de mobilisation rapide des structures d’aide sociale du royaume face aux situations d’urgence humanitaire, particulièrement lorsqu’il s’agit de défendre la dignité et les droits fondamentaux des citoyennes marocaines.
Le cas d’Iman devient ainsi un symbole de la solidarité nationale et de la détermination des institutions à ne laisser aucune victime sans assistance, transformant une tragédie individuelle en un élan collectif de soutien et de reconstruction.