Neuf ans après les faits supposés et les accusations de viol portées contre le chanteur Saad Lamjarred par une jeune Française dans un hôtel parisien, son procès continue de traîner devant la justice française, apportant à chaque audience son lot de surprises et de reports, dans ce qui devient un procès au record de durée pour une affaire de viol non avéré.
Appelé hier, lundi, à la barre du tribunal de Créteil, en région parisienne, le chanteur et ses avocats ont révélé des développements inattendus, affirmant disposer de preuves impliquant des intermédiaires de la partie civile qui lui auraient proposé un arrangement à l’amiable avec la supposée victime, avant l’audience, contre le versement de 3 millions d’euros, soit 3 milliards de centimes, pour qu’il soit disculpé d’un viol qu’il affirme ne jamais avoir commis.
Selon son entourage, la justice française dispose désormais d’éléments attestant d’une tentative d’extorsion et de chantage, ce qui renforcerait la thèse que la plainte pour viol n’était qu’un marchandage, une position que les avocats de Saad Lamjarred n’ont cessé de défendre depuis le début.
Avec cet élément capital, probablement fondé sur un courrier destiné à son manager et sur des enregistrements téléphoniques où l’on entend la voix des intermédiaires, l’affaire prend un tournant décisif. Elle pourrait ainsi aboutir à une décision de non-lieu, mettant fin à un calvaire judiciaire qui a profondément marqué la carrière et la vie de l’artiste.
Bien que Saad Lamjarred ait tenté de reconstruire sa vie – notamment aux côtés de son épouse et à travers une activité musicale intense et réussie – l’ombre de cette affaire continue de peser lourdement sur son image et sa trajectoire artistique.
à mon avis ce benkiran , il a l’autorisation de faire ces déclarations …..si je me trompe il doit être raillé de la vie politique le plus vite possible