La chute du régime syrien de Bachar al-Assad, renversé par l’opposition, dimanche, a mis en lumière des secrets bien gardés, confirmant une fois de plus la justesse de la décision marocaine de rompre ses relations avec ce régime déchu. Un document secret de l’administration des renseignements généraux syriens révèle l’implication directe des milices du Polisario dans les combats contre les insurgés syriens, sous l’égide d’un réseau de collaboration réunissant le régime syrien, l’Algérie et le Hezbollah libanais.
Un réseau d’alliances contre nature
Ce document expose une stratégie élaborée entre les trois parties pour recruter et former des membres du Polisario à des fins militaires. Sous prétexte d’une coopération « fraternelle », des échanges ont été organisés pour intégrer ces miliciens du Polisario dans les rangs de l’armée arabe syrienne. Ce partenariat, approuvé par les régimes syrien et algérien, visait à renforcer les forces de Bachar al-Assad contre les rebelles syriens au début de la révolution en 2011.
Des réunions ont notamment eu lieu en Algérie entre des responsables syriens et le chef du Polisario de l’époque, Mohamed Abdelaziz, en présence d’Ibrahim Ghali, aujourd’hui à la tête de cette organisation séparatiste. Ces discussions ont abouti à l’envoi de 120 combattants sahraouis, répartis en quatre factions, pour recevoir une formation militaire en Syrie.
Le rôle du Hezbollah et la portée de l’alliance
L’implication du Hezbollah libanais dans ce projet illustre l’ampleur de ce réseau d’alliances. En décembre 2011, des dirigeants du Polisario se sont rendus à Beyrouth pour coordonner leurs efforts avec le Hezbollah, bien qu’ils n’aient pu rencontrer Hassan Nasrallah, le secrétaire général du parti. Ce rapprochement confirme une ingérence régionale multiforme, où le régime syrien jouait un rôle clé pour instrumentaliser des factions séparatistes dans des conflits étrangers.
Une trahison qui justifie la prudence marocaine
Ces révélations renforcent la pertinence de la position marocaine de couper court à toute relation avec le régime syrien. En s’associant à des groupes déstabilisateurs comme le Polisario et en soutenant des projets militaires nuisibles à la paix régionale, Bachar al-Assad a démontré qu’il ne méritait pas la confiance des nations aspirant à la stabilité. Le Maroc, fidèle à ses principes, a refusé de cautionner ces manœuvres contraires aux intérêts du peuple syrien et à la sécurité régionale.
La chute du régime syrien marque non seulement la fin d’un pouvoir autoritaire, mais également la mise à nu de ses alliances douteuses et illustre une vérité inéluctable : les ennemis du Maroc et de son Sahara finissent par tomber, emportés par leurs propres manipulations. Chaque défaillance de ces adversaires renforce davantage la légitimité et la solidité de la position marocaine.. Le Maroc, en se tenant à l’écart de ces jeux d’intérêts, réaffirme sa position en faveur de la justice, de la paix et de la transparence dans ses relations internationales.
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La politique royale a toujours été visionnaire en ce qui concerne ses relations internationales.
Hamdou llah tout les ennemis de notre souveraineté territoriale tombent un après l’autre comme un château de carte. Les prochains seront les caporaux.🤲
bientôt , ces deux malfaiteurs seront pendus sur une place publique
Vive le Maroc et les marocains.
Et que justice soit faite
La patrie éternelle