L’artiste marocain Saad Lamjarred a été condamné à six ans de prison par la Cour d’assises de Paris pour violences aggravées sur une jeune femme en 2016. Cette décision a été prise sept ans après les faits. Saad Lamjarred, qui était en liberté provisoire depuis 2016, a dormi ce vendredi en prison.
Si Saad Lamjarred décide de faire appel de cette décision, il encourt de nombreux risques. Tout d’abord, la peine pourrait être aggravée si la cour d’appel juge la décision initiale insuffisante. En outre, le délai pour faire appel est relativement court, ce qui peut laisser peu de temps à la défense pour préparer sa stratégie d’appel. De plus, Saad Lamjarred risque de subir une forte pression médiatique et sociale s’il continue à nier les faits qui lui sont reprochés.
Quoi qu’il en soit, cette décision de justice est un signal fort envoyé en matière de lutte contre les violences sexuelles. Elle montre que personne n’est au-dessus de la loi, même les célébrités, et qu’il est important de respecter les droits et la dignité des femmes. La justice a été rendue et doit être appliquée de manière équitable pour tous. Saad Lamjarred, comme tout individu, a le droit de se défendre en justice s’il estime qu’il est innocent, mais doit aussi faire face aux conséquences de ses actes s’il est reconnu coupable.