La communauté internationale s’attendait à une réponse constructive de l’Algérie à la proposition du roi Mohammed VI d’ouvrir une nouvelle page dans les relations avec le Maroc, et d’adhérer à la dynamique impulsée par la résolution 2797 du Conseil de sécurité pour participer, sans délai, au processus de négociation sur le Sahara. Il n’en a rien été. La diplomatie algérienne a opposé un « niet » catégorique, une réaction qui n’étonne guère les observateurs du dossier.
Faisant mine d’adopter une posture constructive, Alger a proposé de jouer le rôle de médiateur entre Rabat et les séparatistes du Polisario. Une manœuvre que le Maroc rejette fermement : l’Algérie doit être présente à la table des négociations en tant que partie prenante, comme l’a explicitement souligné et admis le Conseil de sécurité. Ce dernier est désormais appelé à prendre acte de ce refus ou plutôt de cette nouvelle tentative de diversion, fidèle à une attitude qui perdure depuis un demi-siècle.
Cette perte de temps, de patience et d’énergie ne saurait se prolonger. Le Conseil de sécurité doit envisager d’autres leviers, car Alger continuera de bloquer toute avancée tant que la résolution 2797 restera non contraignante et dépourvue de sanctions en cas de non-respect, une situation dont l’Algérie profite aujourd’hui, malgré ses maladresses diplomatiques successives.
À l’inverse, les États-Unis disposent d’outils coercitifs susceptibles d’inciter Alger à revenir au dialogue, seule voie réaliste pour résoudre ce conflit auquel elle refuse obstinément de contribuer. Qu’il s’agisse de pressions diplomatiques, économiques, financières ou sécuritaires, jusqu’à envisager l’inscription de l’Algérie sur la liste des pays soutenant le terrorisme en raison de son appui avéré au Polisario, ces options constituent les seuls moyens capables de pousser Alger à adopter une attitude responsable.
Par Jalil Nouri











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Le créateur et géniteur du Polisario veut se débiner de sa responsabilité, et se propose comme un intermédiaire . Quel culot, et quel stupidité prendre les politiques pour des ignares , c’est osé franchement .
Il faudrait carrément fermer la porte au Polisario et son géniteur , et joindre les 2 Saharas de gré ou de force pour fermer la porte à toutes transactions et aux terroristes .
Perpétuelle fuite en avant pour maintenir la tension et surtout occuper la plèbe. L’Algerie croit pouvoir attraper un mirage derrière lequel elle n’a cessé de courir depuis 50 ans !
Qu’elle continue à s’armer lourdement aux dépens de son peuple démuni, les armes aussi coûteuses et aussi sophistiquées qu’elles soient, finiront inévitablement comme celles de Kadhafi, abandonnées dans l’immensité du désert.
Le polyziaouaro a interrompu le cessez le feu. L’Algérie joue au chat et la souris. La résolution de Nations Unies est claire. Le Maroc doit pousser le mur vers l’est, vers les frontières internationaleset ne plus reconnaitre la zone tampon.
Le Maroc devrait changer de politique envers l’Algérie. Les algériens crient haut et fort qu’ils sont contre le Maroc quoi qu’il arrive. Donc le Maroc devrait agir en conséquence et arrêter de se mettre à genoux envers un pays ennemi. Il faut appliquer la tolérance zéro et comme dirait le dicton, la guerre est synonyme de paix. Il faudrait écraser les voisins crèves la faim. Sinon cela risque de perdurer dans le temps et beaucoup de problèmes aux marocains , question sécurité.