Après avoir tout perdu dans sa quête de déstabilisation du Maroc, l’Algérie cherche, dans une fuite en avant visant à dissimuler ses crises intérieures, d’autres procédés désespérés pour détourner l’attention.
C’est ainsi qu’a été inventée une journée célébrant une supposée « République du Rif » indépendante dans le nord du Maroc, une entité qui n’existe que dans l’imagination débordante de ses concepteurs.
Le spectacle de cette célébration absurde et pitoyable s’est déroulé sous la forme d’une farce orchestrée par des médias serviles algériens, sans public, avec un « leader » fantôme manipulé comme une marionnette.
Cette journée, marquée par un ridicule total, ne laissera aucune trace dans l’Histoire et ne mérite pas qu’on s’y attarde. Elle illustre simplement le désarroi des instigateurs de ces gestes puérils et hostiles envers un pays voisin concentré sur ses propres progrès.
Entre leurs mouvements de troupes aux frontières, leurs tentatives désespérées de créer un foyer de tension militaire par le biais du Polisario armé avec l’argent du peuple algérien privé de ses besoins fondamentaux, leurs batailles diplomatiques systématiquement perdues face au Maroc, et leurs attaques de hackers visant des médias marocains pour dissimuler l’emprise des hauts gradés sur les richesses naturelles de leur pays, le régime algérien s’enfonce dans une spirale de dérives autoritaires internes et d’agressions belliqueuses à l’encontre de son voisin pacifique.
Comme toute chose a une fin, le régime autoritaire actuel en Algérie et ses va-t-en-guerre chancelants, isolés et sourds aux réalités, n’échapperont pas à leur destin. L’Histoire ne retiendra d’eux que leur politique du pire.
Par Jalil Nouri