Après le roi Mohammed VI, dont la popularité atteint des niveaux inégalés dans l’opinion publique nationale, notamment depuis l’annonce historique de l’adoption par l’ONU du plan d’autonomie du Sahara sous souveraineté marocaine, un autre dirigeant voit sa cote grimper en flèche auprès des Marocains : le président américain Donald Trump.
La reconnaissance internationale du plan marocain a consolidé le prestige du Souverain, tout en renforçant celui de l’ancien président américain, perçu comme un allié décisif du Maroc. Le roi Mohammed VI lui a d’ailleurs adressé ses vifs remerciements pour son rôle déterminant dans la consécration du projet d’autonomie, porté à bout de bras jusqu’à son adoption par le Conseil de sécurité.
De son côté, Omar Hilale, représentant permanent du Maroc auprès des Nations unies, a salué la position de Donald Trump, allant jusqu’à envisager une visite du président américain à Dakhla pour inaugurer le premier consulat américain dans la région et y encourager de grands investissements. Une initiative royale en ce sens serait déjà à l’étude, marquant un nouveau chapitre dans les relations séculaires entre le Maroc et les États-Unis, qui fêteront leur 250ᵉ anniversaire diplomatique en 2027.
Sur le terrain, la ferveur populaire ne s’est pas démentie. Dans la semaine suivant le discours royal, les Marocains ont exprimé leur joie à travers des célébrations spontanées, des chants patriotiques et des messages saluant l’« amitié éternelle » entre Rabat et Washington. Le slogan « Trump, meilleur ami du Maroc » a été scandé dans plusieurs villes, au point que certaines municipalités envisageraient de baptiser des boulevards au nom du président américain.
L’histoire retiendra sans doute ce 31 octobre 2025 — date du vote favorable de la résolution 2797 — comme celle d’une communion nationale et d’un moment symbolique que le Maroc s’apprête à inscrire comme fête nationale annuelle dès 2026.










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