Par un décret présidentiel qualifié « d’urgence nationale », le président américain Donald Trump a ordonné la fermeture des portes de l’immigration aux ressortissants de tous les pays du tiers-monde, à la suite de l’assassinat d’une membre des forces de sécurité à Washington par un ressortissant afghan. Cette décision radicale marque un tournant majeur dans la politique migratoire des États-Unis et provoque une onde de choc bien au-delà des frontières américaines.
Les Marocains figurent parmi les premiers concernés. Pour des milliers d’entre eux, l’annonce a eu l’effet d’un séisme : familles en attente de régularisation depuis des années, étudiants espérant entamer une carrière sur le sol américain, ou encore candidats à la loterie annuelle de la “Green Card” voient soudain le « rêve américain » s’éloigner brutalement. Les dossiers en cours risquent d’être gelés, voire purement et simplement enterrés, selon les premières réactions d’experts en immigration.
Cette décision n’est pourtant pas totalement surprenante. Dès le début de son mandat, Donald Trump avait multiplié les signaux hostiles aux flux migratoires en provenance des pays pauvres : restrictions drastiques sur les visas, durcissement des contrôles aux frontières, expulsions accélérées d’irréguliers. Le président, qui n’a cessé de brandir la menace sécuritaire, semble désormais avoir saisi le prétexte de ce meurtre pour franchir un nouveau cap, au nom de la « protection du peuple américain ».
La réaction ne s’est pas fait attendre dans les milieux économiques. Les géants de la Silicon Valley, fortement dépendants de la main-d’œuvre qualifiée étrangère, ont dénoncé une mesure « contre-productive » et dangereuse pour l’innovation. Ils rappellent que de nombreux ingénieurs, chercheurs et développeurs viennent précisément de ces pays aujourd’hui visés.
La communauté marocaine aux États-Unis, estimée à près de 300.000 personnes, suit la situation avec inquiétude. Une partie importante de ses membres vit encore dans l’attente d’une régularisation définitive ou d’un regroupement familial. Pour eux, un trait de plume venu de la Maison Blanche menace de transformer des années de sacrifices et d’espoirs en un brutal retour à la case départ.
Par Jalil Nouri











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الحمد لله. علي المغرب
C’est faux!
Aucune communication officielle n’a listé le Maroc en tant qu’interdit d’immigration par le State Department.
Soyez sérieux dans votre travail!!
oui c vrai ma fille s’est refusee le VISA et son interlocuteur ne la laissait meme pas terminer ses réponses
Non, le Maroc n’est pas concerné par l’interdiction d’immigration annoncée par le président Trump le 28 novembre 2025. Des sources marocaines confirment explicitement que le Maroc ne figure pas sur la liste des pays du « tiers-monde » visés par cette suspension.
Listes de Pays Ciblés
Interdiction totale (12 pays, proclamation juin 2025) :
Afghanistan, Birmanie (Myanmar), Tchad, République du Congo, Guinée Équatoriale, Érythrée, Haïti, Iran, Libye, Somalie, Soudan, Yémen.
Restrictions partielles (7 pays) :
Burundi, Cuba, Laos, Sierra Leone, Togo, Turkménistan, Venezuela.
Période probatoire potentielle (36 pays, incluant Maroc) :
Le Maroc apparaît sur une liste de surveillance pour améliorations en vérification des visas, mais sans interdiction actuelle.
Implications Actuelles
L’annonce récente cible les pays à haut risque sans liste exhaustive publiée ; le Maroc bénéficie de relations stables avec les USA et n’est pas listé dans les 19 pays principaux.
Fausse information
Renseignez vous avant d’écrire
Le rédacteur de cet article n’est pas professionnel! Sans autre commentaire!
Un journaliste qui est completement out des circuits d’information. Tu dois retirer ton article pour le réécrire
Jalil Nouri, nourris-toi d’informations avant d’écrire des bêtises !
il faut se renseigner du nombre de refus de VISA cette semaine
Si Jalil Nouri je tenais à vous féliciter pour vos excellents articles .en plus on apprend à travers ces derniers un vocabulaire riche qu’on ne cesse de découvrir. Merci et bonne continuation.