Le pouvoir algérien est assommé par une décision de Paris de restreindre les déplacements sur son territoire d’un certain nombre de hautes personnalités algériennes, en guise de premières représailles face à l’hostilité croissante d’Alger envers la France. Cette tension a été récemment exacerbée par des tentatives de cyber-déstabilisation et, plus grave encore, par la délivrance de faux passeports via un consulat algérien.
La mesure vise la nomenklatura algérienne, notamment des hauts gradés et des ministres, sans que Paris ne fournisse de liste détaillée. Toutefois, certains noms sont aisément devinables. Le ministre de l’Intérieur français, à l’origine de cette décision qualifiée de gifle diplomatique, aurait souhaité aller encore plus loin, ce que le président Macron pourrait envisager. Alger, de son côté, s’apprête à riposter, bien que la stupeur semble l’avoir momentanément paralysée.
En réaction, les autorités algériennes comptent porter l’affaire devant les Nations Unies, estimant que cette décision française viole la Convention de Vienne, qui encadre les relations diplomatiques. Elles dénoncent une atteinte à la liberté de circulation, alors même qu’Alger a récemment expulsé plusieurs diplomates français dans un geste de réciprocité.
Le camouflet infligé par Paris est d’autant plus douloureux que la France envisage désormais de s’attaquer aux biens des dignitaires algériens accumulés sur son sol, incluant des comptes bancaires bien garnis et des propriétés immobilières de grande valeur.
Ce développement majeur, dans un contexte de relations franco-algériennes en constante détérioration, annonce une crise profonde aux conséquences incalculables, notamment pour Alger. Il s’agit d’un point de non-retour, accentué par le refus persistant de l’Algérie de rapatrier une centaine de ressortissants sous OQTF (obligation de quitter le territoire français), malgré les demandes réitérées de Paris.
Les prochaines heures s’annoncent décisives pour l’avenir des relations entre les deux pays.
Par Jalil Nouri
Mr le monstre français de l intérieur a mille fois raison pourvu que ça dure pour montrer aux Algériens les biens mal acquis de la mafia politico financière en France et ailleurs
Désolé je voulais écrire Mr le Ministre……
c’est bien le tour de l’Algechie pour la détruire.