Michele Menanteau, Française, a vendu ses biens pour acheter une maison à Essaouira, au Maroc, en vue de sa retraite. En 2011, elle a payé 1,8 million de dirhams pour la réservation, mais n’a jamais obtenu de titre foncier. Après une procédure judiciaire, le promoteur également Français, serait retourné contre elle, l’accusant d’exploitation illégale et de non-paiement de charges syndicales. La résidence est devenue touristique, obligeant Menanteau à acheter une maison pour usage touristique.
Le promoteur aurait falsifié une expertise immobilière, présentée devant un magistrat. Menanteau a fait appel et déposé une plainte, attendant les résultats de l’enquête. Cette affaire souligne les risques pour les investisseurs étrangers au Maroc et la nécessité de renforcer les lois pour protéger les investisseurs nationaux et étrangers contre les escroqueries immobilières.
Madame Menanteau appelle à sensibiliser les investisseurs étrangers à être prudents lorsqu’ils investissent dans l’immobilier au Maroc. Les autorités marocaines doivent agir fermement pour mettre fin à ces pratiques frauduleuses et préserver la réputation du pays comme destination d’investissement sûre.
L’investissement immobilier exige une recherche minutieuse, des conseils juridiques et une diligence raisonnable. Les investisseurs doivent être conscients des risques et des pièges potentiels, en particulier dans un pays étranger, et choisir des partenaires immobiliers fiables pour minimiser les risques.
Affaire à suivre ……