Dans un développement diplomatique marquant, le Parlement européen a décidé de dissoudre le groupe parlementaire commun dit « Sahara occidental », une initiative sur laquelle la Front Polisario comptait pour infiltrer les institutions européennes avec le soutien de certains parlementaires pro-séparatistes. Cette décision constitue une victoire diplomatique majeure pour le Maroc et témoigne du basculement des institutions européennes vers une approche réaliste et équilibrée des questions régionales.
Ce choix illustre un soutien clair et sans équivoque au positionnement marocain sur la question du Sahara. Il reflète également l’éloignement croissant des institutions européennes vis-à-vis des agendas destructeurs promus par l’Algérie et la Polisario, malgré leurs efforts pour influencer la scène européenne, notamment après le récent arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne concernant les accords de pêche et d’agriculture avec le Maroc.
Depuis des années, l’Algérie investit des moyens considérables pour soutenir cette initiative parlementaire afin de nuire à la souveraineté marocaine. Toutefois, l’échec de ces tentatives, marqué par la décision unanime du Parlement européen, démontre un changement de paradigme. Les institutions européennes privilégient désormais des solutions réalistes et collaboratives, alignées sur les intérêts régionaux et internationaux, tout en renforçant leurs liens avec le Maroc.
Ce recul du soutien au séparatisme, couplé à l’adoption progressive du plan d’autonomie marocain comme solution crédible et pragmatique, montre un tournant dans la dynamique internationale. La communauté européenne semble de plus en plus consciente de la nécessité de privilégier la stabilité et le développement dans la région, éloignant ainsi les conflits artificiels.
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