La chambre criminelle de la Cour d’appel de Casablanca a rendu un verdict sans équivoque jeudi dernier, condamnant un professeur de français à une peine de 30 ans de prison ferme et à une amende de 200.000 dirhams pour avoir commis des actes répugnants de viol sur ses élèves, au sein même d’une école privée de la capitale économique du Royaume. Cette affaire a profondément secoué la communauté éducative et la société dans son ensemble.
Dans une salle d’audience chargée d’émotion, les accusés ont été confrontés aux preuves accablantes, notamment des conversations électroniques révélant les abus perpétrés sur des élèves mineures. L’avocate des victimes, Mariam Mustaqim, a qualifié le comportement du professeur d’une « violation de l’humanité » et d’une « atteinte aux valeurs nationales », plaidant pour une sentence maximale afin de dissuader tout individu envisageant de s’attaquer à l’innocence des enfants.
Cette affaire a également mis en lumière les inquiétudes croissantes des familles concernant la sécurité de leurs enfants à l’école. Mohammed Tayeb Omar, représentant de l’association « Touches pas à mon enfant », a souligné l’effroi suscité par cette affaire et a décrit les détails sordides rapportés dans les rapports de police comme étant « horribles » et difficilement concevables.
Dans une tentative désespérée de se disculper, l’accusé a nié les accusations portées contre lui, mettant en avant le traumatisme infligé aux victimes. Cependant, la justice a tranché avec fermeté, reconnaissant la gravité des crimes commis contre des mineurs sous l’autorité de l’accusé.
Les charges retenues contre le professeur comprennent le viol de mineures de moins de 18 ans, la défloration et l’attentat à la pudeur, conformément aux dispositions du Code pénal marocain. Son complice, accusé d’avoir organisé un lieu de prostitution où ces actes odieux ont eu lieu, a été poursuivi en conséquence.
Ce verdict marque une victoire pour la justice et envoie un message fort : les prédateurs sexuels ne seront pas tolérés et seront tenus responsables de leurs actes abominables, quelle que soit leur position dans la société. La sécurité et l’intégrité des enfants restent des priorités absolues, et toute personne coupable d’exploiter leur innocence sera sévèrement punie.
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Pourvu que les accidents de la nature de ce genre ( comme je les désigne ) aient lu cet article pour bien penser aux réponses à leurs actes. A bon entendeur salut.
Enfin un verdict qui rend justice aux enfants marocains victimes de violence sexuelle !