Le ministre de l’Intérieur français, Bruno Retailleau, sera au Maroc dès ce dimanche soir pour une visite de travail éclair de quelques heures seulement, avec un programme particulièrement dense, tant sur le fond que sur la forme, chargé d’interrogations et marqué par une certaine incongruité.
Commençons, pour une fois, par la fin de la visite : une conférence de presse de clôture est prévue, mais elle se tiendra en l’absence totale de la presse indépendante. Seuls les médias du pôle public y auront accès et pourront poser des questions au ministre français ainsi qu’à son homologue marocain, Abdelouafi Laftit.
Pourquoi une telle discrimination ? Nul ne le sait, mais l’on peut espérer que le ministère marocain de la Communication saura justifier ce choix curieux.
Difficile de ne pas y voir une volonté d’éviter les questions embarrassantes de la part des médias privés. Ce traitement réservé à la presse nationale indépendante ne passera sans doute pas inaperçu, et les réactions ne tarderont pas à se faire entendre face à cette mise à l’écart injustifiée et peu élégante.
Autre bizarrerie : le ministre français arrive seul, sans délégation, ce qui signifie que l’ensemble des échanges se feront en tête-à-tête avec son homologue marocain, notamment lors du déjeuner officiel prévu lundi, avant que Bruno Retailleau ne reprenne l’avion pour Paris, où l’attend un tournant politique important — la possible prise de tête du parti Les Républicains.
Selon des sources diplomatiques, plusieurs dossiers sensibles seront abordés : la coopération sécuritaire, l’immigration irrégulière, le crime organisé, la lutte contre le terrorisme, et le trafic de drogue.
En toile de fond, un point de friction persiste discrètement : la question des OQTF (Obligations de Quitter le Territoire Français). Ces mesures d’expulsion concernent des ressortissants marocains, entre autres, condamnés pour divers délits et que leur pays d’origine refuse en général de réadmettre. Toutefois, selon certaines indiscrétions, le Maroc serait désormais prêt à faire un geste sans poser de conditions, pour répondre à la demande française.
Par Jalil Nouri
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Ce connard il faut l’humilier. Cf discours lors de la rencontre organisée par ELNET, à l’origine de la montée de l’islamophobie en Europe. Vive le sport, et à bas le voile. Le sionisme attise l’islamophobie en Europe. Sionisme cancer du monde. A éradiquer.
Connard ??!! Merci d’argumenter avec intelligence et respect. Bien cordialement.
Resistance a raison ! C’est un raciste islamophobe. Resistance doit mieux connaitre ce qui se passe en France et en Europe en général. La moindre des choses est que le Maroc lui rappelle qu’il doit respecter l’islam et les Marocains Rséidents à l’étranger !!!
Oui un vrai Connard car plus raciste que ce Connard, tu meurs.
C’est plus qu’une merde à moins que tu ne sois pareil pour prendre sa défense ou même en dire qu’il faille le traiter avec respect …sauf si tu ne savais pas…??
Dans ce cas-là je retire ce que je dis
Jean Claude
La réponse est très simple pour n’inviter que les médias dits « bien pensants » :Monsieur RETAILLAUD est pris entre 2 feux, celui des électeurs (en majorité en France, pour vivre en paix) qui demandent la simple réalisation des OQTF pour les voyoux, dangereux, et de l’autre le président MACRON (son chef), qui n’a plus que les électeurs de gauche pour le sauver (15 %) favorables aux islamistes installant leur Omma tranquillement, aidés par cette même gauche qui s’en sert comme électorat, aussi de sauvetage !
Tout celà n’est pas très propre. Au moins le Maroc sait faire le ménage à temps (travail des Mokhadem dans les moindres recoins!).
En voilà le discours d’extrême droite ou ceux qui en rêvent encore au moins.
les pays du Maghreb sont encore plus sévères av les délinquants, mais OQTF est utilisé en Europe et en particulier France, aujourd’hui, pour des raisons politiques et électoraux plus q »autre chose.
sans surprise ant que les gouvernements qui se succèdent depuis indépendance, se protègent avec des dents de scie et protègent surtout leur propre personne et leurs famille mais pour le peuple, il y a dieu, et c’est dit comme toujours; « Toutefois, selon certaines indiscrétions, le Maroc serait désormais prêt à faire un geste sans poser de conditions, pour répondre à la demande française ».