Un bouquet de fleurs, un geste symbolique chargé de sens, mais parfois, il peut devenir le témoin d’une comédie involontaire. Le 8 mars, lors de la cérémonie d’hommage aux femmes méritantes algériennes, le président Abdelmadjid Tebboune a offert un seul bouquet de fleurs. Jusque-là, tout semble normal. Cependant, ce bouquet unique a pris un chemin inattendu, passant de main en main, tel un témoin muet d’une situation absurde.
La scène se déroule ainsi : Tebboune remet le bouquet à une femme honorée. Mais avant qu’elle ne puisse le conserver, un homme du protocole d’El Mouradia le lui retire et le représente à Tebboune pour le remettre à une autre. Et ainsi de suite, jusqu’à ce que la farce atteigne son terme. Un bouquet partagé, échangé, et finalement, peut-être même retourné au fleuriste.
La question qui se pose est la suivante : Le protocole présidentiel algérien ignore-t-il que des fleurs offertes à une femme ne doivent pas être reprises et redonnées à une autre ? Ou bien s’agit-il d’une tradition subtile, un jeu de passe-passe floral qui échappe à notre compréhension ?
En vérité, cette situation soulève des interrogations plus profondes :
L’importance du geste : Un bouquet de fleurs symbolise l’appréciation, la reconnaissance et l’affection. En le partageant ainsi, le message initial se perd-il ?
Le respect envers les femmes : En remettant un seul bouquet à plusieurs femmes, Tebboune a-t-il involontairement humilié celles qu’il souhaitait honorer ? Ou bien était-ce une tentative maladroite de montrer l’égalité entre elles ?
Mais au-delà de cette scène, il y a une réalité plus vaste : « La force tapante » d’un pays qui ne peut même pas fournir des bouquets de fleurs aux femmes honorées. Une force qui, au lieu de grandir, se dissipe dans des gestes maladroits et des comédies involontaires.
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Il faut recoloniser cette terre, ses caporaux ne sont pas encore matures pour gouverner ni pour exécuter nos ordres, ‘ous français on estime la Femme avec tous ses droits, mais Non nous la France 🇫🇷 on devait pas encore libérer ces adolescents adorateurs de film de dessins animés