Une mésaventure vécue par un client dans un magasin de la chaîne d’ameublement, précurseur au Maroc et leader sur les articles en kit, peut jeter le discrédit sur cette success story restée un exemple en matière de développement. On sait pourquoi à présent, et les clients savent à quoi s’en tenir en choisissant cette enseigne, proche de celle d’un concurrent de niveau mondial.
Le succès a-t-il aiguisé l’appétit commercial de ses dirigeants au point d’avoir recours à des techniques de vente scandaleuses, aggravées par la présence d’un personnel désorienté par la manière dont sont présentés les produits, souvent écoulés en violation des bonnes pratiques ?
Cette mésaventure, bien qu’il s’agisse d’un produit à prix abordable, reste révélatrice d’une politique discutable visant à duper honteusement la clientèle et à faire du chiffre selon le principe du « tous les moyens sont bons », tant que les bénéfices sont au rendez-vous dans les bilans annuels et que l’entreprise développe son réseau à travers le pays.
Le client en question cherchait à faire l’acquisition d’une petite lampe, qu’il trouvera dans le magasin Kitea, situé dans le quartier Gauthier à Casablanca, au prix affiché de 219 DH. Voulant régler sa facture un étage plus bas, il découvre que le prix a changé et a été majoré de 50 DH sans aucune justification, puisqu’il n’obtient qu’une vague réponse. Il apprendra plus tard que les prix peuvent changer dans la journée, sans préavis, sur ordre de l’état-major de la chaîne. Dans la foulée, il voit le prix de l’ampoule également ajouté à la facture, portant le total à près de 300 DH, avec l’ajout des frais de l’ampoule, censée être incluse avec la lampe (26 DH), ainsi que l’exigence surprenante de s’acquitter de 15 DH pour le sac en tissu, généralement offert dans les grandes enseignes dignes de ce nom. À cela s’ajoutent les taxes, ce qui porte le prix final à près de 300 DH.
Kitea aura ainsi perçu indûment 91 DH sur un produit initialement affiché à 219 DH TTC, avant de recevoir l’ordre de modifier le prix, sans en avertir la clientèle. Certains diront que 91 DH ne représente pas grand-chose pour le pouvoir d’achat de la clientèle de ces lieux, sauf qu’il s’agit ici d’une question de principe, indiscutable et ferme, pour tout acte d’achat.
Cet exemple soulève des interrogations sur certaines pratiques commerciales, tout en rappelant la particularité de l’enseigne Kitea, dont le nom, évoquant celui du géant suédois Ikea — pionnier mondial du meuble en kit —, avait suscité l’attention lors de l’arrivée de ce dernier sur le marché marocain. Cette proximité dans l’appellation avait donné lieu à des débats à l’époque, illustrant les défis liés à la concurrence et à la protection des marques dans un secteur en pleine évolution.
Par Jalil Nouri
Le Maroc est un pays de merde
Bezzaf 3lik. ce n’est pas parce qu’une enseigne pratique des manœuvres douteuses que vous êtes en droit d’insulter tout un pays
C’est certainement un houkistanais jaloux, haineux, envieux et, surtout, ingrat !!!!!
Pays sans aucune relation client… Donc de m…
Un amalgame totale entre une marque et un pays. Un langage sans aucun respect des autres
La merde hiya…. Mok ya mok 😂😂😂
La merde c’est toi
Tu n’as pas honte espèce de mal élevé on parle de kitea que vient faire le maroc
Bizarre que cela ait bypassé la modération…
Est ce que vous rendez compte de ce que vous dites ??? De tels propos sont inacceptables ! Vous devriez présenter des excuses !
Kayn chi merde 9adak?!khnazti l’article
Tout d’abord je n’ai aucun lien avec KITEA à part celui d’être client occasionnel. Mr Nouri, je trouve que vos articles sont très approximatifs voir souvent biaisés ce qui a tebdance à discréditer ce site.
D’une part il est fréquent au Maroc comme à l’étranger que certains éléments d’un produit ne soient pas inclus dans le prix affiché ( piles, ampoules….)
D’autre part d’autres grandes enseignes de la distribution nationale facturent les sacs sans que personne crie au scandale.
Ce n’est pas la première fois que Mr Nouri à travers ses articles fait preuve de manque d’objectivité et de rigueur journalistique.
Il n’est pas le premier dans le genre, déjà en 1835 Tocqueville mettait en garde dans son » De la démocratie en Amerique » des risques de manipulation de la presse !! Force est de constater que cela reste d’actualité en supposant qu’on a devant nous un article de presse !!
Existe-t-il une presse objective ?! De toute évidence NON, et partout ailleurs! Tant mieux qu’Actu-Maroc ait de plus en plus un bon taux de pénétration et tant mieux que M. Nouri, qu’il soit journaliste ou pas, profite de cette tribune pour dénoncer encore une fois ces quelques dérives
Il m’est arrivé exactement la même chose, et à maintes reprises ! Certaines grandes surfaces affichent un prix sur le produit, mais une fois à la caisse, on découvre un montant plus élevé. Il faut vraiment faire attention. Je comprends bien le message de Jalil Nouri : c’est au journaliste d’alerter l’opinion sur ces pratiques trompeuses. Et pourquoi un sac avec une grande publicité de l’enseigne est-il maintenant facturé 15 DH alors qu’il était autrefois gratuit ?
Je suis d’accord avec l’article, le prix doit être affiché correctement. Mais au sujet des sacs je ne suis pas d’accord. Si le magasin souhaite faire payer (comme partout ailleurs je le précise) tant mieux pour lui, mais nous citoyens, il est de notre devoir également de nous rappeler le côté non ecologique des sac gratuits: j’ai toujours des sacs dans ma voiture et un dans mon sac à main. Réduire nos déchets commence par de petits gestes.
Quand au nom, si Kitea et le grand suédois se ressemblent, Kitea garde tout son sens : les meubles sont vendus en KIT, son nom n’a rien d’étonnant.
Le client est libre de refuser…
La Merde c est ce que tu as dans la tête.
Des pratiques commerciales frauduleuses ou as qui restent à vérifier.
Il est courant que le prix affiché ne soit pas changé, au niveau du terminal du caissier. L alimentation du référentiel prix se fait par le management mais l affichage dans les rayons se fait par les employés. Souvent il y a décalage dans le temps.
Acheter la ou vous vous sentez à l aise ,comparer et décider, sans imposer.c est ma devise.
Normalement il doit y avoir des lois, qui reglemente le commerce . En Europe, le prix affiché doit être le prix à payer en caisse ( j’ai eu le même souci dans un magasin d’ameublement, où les employés n’ont pas changé le panneau de prix, et après vérification conformément à la loi j’ai payé le prix affiché.) mais bon ça c’est dans un pays de droit ! Concernant les accessoires,((ampoule )c’est toujours vendu nue, sauf mention contraire. Concernant les sacs normalement l’employé(e) de caisse doit toujours demander,en précisant que c’est en sus. Et pour terminer le client n’est pas obligé de payer,car comme on dit il est le Roi.
J’ai vécu la même chose plusieurs fois à Carrefour Dar bouazza, le prix affiché était bien plus bas que le prix en caisse, je sais bien que ca peut arrivé car il peut y avoir plusieurs raisons, mise a part un changement de prix sur système et qui n’as pas eu lieu au niveau du balisage. Parfois, il y’a des promo avec une date limite et pas de maj du balisage, dans d’autres cas c’est tout simplement le produit qui est placé au mauvais endroit. Mais quoi qu’il en soit, chez Carrefour en tout cas, je ne paye que le prix affiché et j’obtiens en plus un petit bon d’achat en guise d’excuses.
Oui mais c’est Carrefour, parce que partout ailleurs c’est le farwest, entre la sardine, le poulet, boeuf et le mouton. Il n’y a pas un jour sans un scandale dans une corporation, un élu de commune etc. Tout le monde ne vois que l’argent, peut importe la manière de le gagner. Le Maroc devient un peu juif dans son rapport à l’argent, c’est dommage car on est musulman.