La récente frappe aérienne israélienne sur des installations du corps des Gardiens de la révolution à Téhéran a entraîné, selon des sources médiatiques concordantes, la mort de plusieurs officiers de haut rang, parmi lesquels figuraient quatre Algériens. Une révélation qui fait l’effet d’un séisme politique et stratégique, tant en Algérie qu’à l’international.
Ce drame, survenu loin des frontières algériennes, soulève une série de questions cruciales. Que faisaient des officiers algériens dans une zone militaire iranienne, cible directe d’opérations israéliennes ? À quel niveau se situe aujourd’hui la coopération militaire entre Alger et Téhéran ? Et surtout, pourquoi aucun communiqué officiel n’est venu confirmer ou infirmer ces informations ?
Derrière ces interrogations, c’est toute une redéfinition de la doctrine de défense algérienne qui semble se dessiner. Longtemps attachée à une position de non-alignement et de neutralité dans les conflits régionaux, l’Algérie serait-elle en train de glisser vers une stratégie d’alliance sécuritaire et militaire au sein de l’axe dit « de la résistance », centré désormais autour de l’Iran ?
Ce basculement, s’il se confirme, pourrait traduire une volonté de contrebalancer le rapprochement stratégique du Maroc avec des puissances régionales et internationales. Mais cette orientation comporte aussi des risques majeurs. En s’impliquant, même indirectement, dans des théâtres de guerre extérieurs, l’Algérie pourrait se retrouver exposée à des représailles, à des sanctions internationales, voire à une perte de crédibilité auprès de ses partenaires africains et européens.
Le silence officiel observé depuis la révélation de cette affaire pourrait être perçu comme un aveu ou, à tout le moins, une stratégie d’évitement face à une situation hautement inflammable. Dans une conjoncture marquée par des tensions croissantes au Moyen-Orient et par la reconfiguration des alliances en Afrique du Nord, chaque geste, chaque non-dit, devient lourd de sens.
Ce que révèle en filigrane cet épisode tragique, c’est l’urgence, pour Alger, de clarifier sa doctrine militaire et son positionnement géopolitique. Car à défaut de transparence, ce sont les conjectures qui s’imposent. Et dans le contexte actuel, elles pourraient coûter bien plus qu’un simple malentendu diplomatique.
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Le partenariat militaire entre l’Algérie et l’Iran est connu de tous. Ce rapprochement stratégique vise clairement à nuire aux intérêts du Royaume du Maroc, avec pour objectif final de saboter et de fragiliser la stabilité de notre pays. Les iraniens ont tué des milliers de pauvres syriens avec la complicité bien évidemment et encore des Algériens et leurs protégés mercenaires , le Polisario. « Inna Allah youmhil wala youhmil »
Il apparaît de plus en plus évident que l’Algérie pourrait être la prochaine cible à isoler sur l’échiquier régional. Son régime, autoritaire, opaque et miné par des luttes internes, souffre d’une instabilité chronique. Dirigé par une élite déconnectée et marquée par l’obsession du contrôle, ce pouvoir vacillant accumule les erreurs stratégiques, ce qui le rend vulnérable aux secousses géopolitiques à venir.
D’après un site de stratégie militaire bien informé, depuis les années 90 les militaires algérien ont essayé de procurer de l’uranium pour avoir la bombe atomique. On peut se demander si leur programme est toujours d’actualité..
Israël cherche à mêler l’Algérie à ce conflit.
Presque tout le monde arabe est maîtrisé il ne reste plus que l’Afrique du Nord ou plutôt l Algerie .
J’espère qu’on en arrivera pas là autrement…
Le début de la fin
Trump Netanyahu Poutine Khamenaii