L’affaire judiciaire visant Achraf Hakimi, international marocain et défenseur du Paris Saint-Germain, connaît un nouveau tournant. Le parquet de Nanterre a officiellement requis ce vendredi le renvoi du joueur devant la cour criminelle des Hauts-de-Seine, dans le cadre d’une accusation de viol datant de 2023, une accusation que le joueur a toujours niée fermement.
Dans un communiqué relayé par l’AFP, le parquet a précisé avoir transmis le dossier au juge d’instruction en charge, seul habilité à décider d’un renvoi effectif devant la juridiction criminelle. Cette décision intervient à l’issue d’une longue instruction judiciaire, au cours de laquelle Achraf Hakimi avait déjà été mis en examen.
Selon les informations du quotidien Le Parisien, la plaignante accuse le joueur de l’avoir agressée sexuellement à son domicile, dans un contexte que les avocats du défenseur contestent vigoureusement. Depuis l’ouverture de l’enquête, Hakimi coopère avec la justice mais n’a jamais été placé en détention préventive.
À 26 ans, Hakimi, considéré comme l’un des meilleurs latéraux droits du monde, pourrait désormais faire face à une cour criminelle, si le juge valide la demande du parquet. En cas de renvoi et de condamnation, il encourt jusqu’à 15 ans de prison, conformément au code pénal français.
Cette affaire, largement médiatisée, continue de faire couler beaucoup d’encre au Maroc comme en France. Le fait qu’elle vise Achraf Hakimi, l’un des joueurs les plus aimés et respectés du public marocain, suscite interrogations et indignation. Beaucoup s’interrogent : qui en veut à ce talent devenu une icône marocaine ? Derrière les accusations, certains y voient une tentative de briser l’image d’un footballeur exemplaire, dont la réussite dérange peut-être plus qu’on ne le croit.
Il n’y a pas d’icône qui vaille lorsque la justice est dans les parages et surtout celle d’un pays aux traditions judiciaires séculaires. Prétendre que le procès intenté au joueur marocain est un coup monté, relève de la psychose. Chaque citoyen français a le droit de saisir la justice pour quelque préjudice que ce soit et c’est au corps de la magistrature de statuer sur la recevabilité ou non de sa requête. Ce sont des procédures strictement encadrées par la loi et nul n’est au-dessus de la loi, même pas un Hakimi car d’autres plus réputés que lui se sont frottés à linflexibilité de la justice française. S’il est innocent des faits qui lui sont reprochés il aura tt le loisir de le prouver devant la cour qui instruira son dossier. Alors de grâce laissez la justice faire son travail et point de chauvinisme saugrenu.
Cette loi française qui juge des pseudo violeurs pour 15 ans de prison alors des vrais criminels écopes entre 3 et 5 ans de prison elle est bien belle et équitable cette justice française à bon entendeur salut
Merci à l’auteur de l’article qui a donné un aperçu de l’affaire; mais on doit respecter la règle d’or qui stipule qu’un présumé est innocent jusqu’à preuve du contraire. Donc tout commentaire sera superflu tant que la justice n’a pas prouvé le bien fondé de la plainte. Ajoutons à cela le fait que Hakimi est connu pour son sérieux