Le front séparatiste du Polisario, qui tire ses dernières cartouches avant sa disparition annoncée et programmée, est venu jouer aux intrus dans une rencontre organisée à Rome par l’Union européenne avec son homologue africaine, pour créer un nouvel incident diplomatique dont Bruxelles a saisi le danger et s’est empressée de l’éteindre.
L’Union européenne a vite essayé d’éteindre l’incendie en présentant ses plates excuses à Rabat pour cette présence non désirée, en en faisant porter la responsabilité à l’Union africaine, au sein de laquelle opèrent toujours des pays complices d’Alger, violant le règlement interne de l’organisation panafricaine, qui n’en est pas à sa première tentative d’inviter une entité non reconnue par les Nations unies en tant que pays, afin de participer à cette provocation et créer un différend entre l’UE et le Maroc, dont les relations sont au beau fixe et que rien ne saurait venir altérer, surtout pas les gesticulations des séparatistes.
Cette dernière a tenu à préciser qu’elle ne pouvait être tenue en aucun cas pour responsable de cette invitation, et que le règlement de Bruxelles laissait à la partie coorganisatrice du forum la liberté de dresser la liste des participants à ce forum bilatéral, qui s’est trouvé ainsi perturbé par cette intrusion et empêché de traiter des questions importantes à l’ordre du jour de l’événement, en faveur du développement en Afrique et du partenariat avec les pays membres de l’Union européenne, soucieux de ne pas perdre leur place sur le continent dans une course aux projets et aux marchés trustés par une Chine conquérante.
Reste que la partie organisatrice et hôte de la rencontre est l’UE, et non l’Afrique, chose qui rend les excuses et le démenti de Bruxelles peu convaincants, car un simple pointage rigoureux aurait pu permettre de démasquer la délégation séparatiste venue jouer les trouble-fête, dans une conjoncture défavorable avec l’inscription imminente par les États-Unis du Polisario sur la liste noire des organisations terroristes internationales, au même titre que le parrain algérien, il faut croire. C’est dans ce cadre qu’il faut situer cette provocation, la dernière en date, et probablement le dernier baroud d’honneur avant une éclipse de la carte.
Par Jalil Nouri
.
Le scandale de ce groupe terroriste séparatiste est déjà connu au Japon où un membre de groupe est entré clandestinement à la réunion avec un passeport diplômatique algérien. Une arrivé à sa place il sort une plaque de son cartable sur laquelle est Polisario, c’est à dire il représente le groupe terroriste et non pas le pays qui lui a délivré un passeport diplômatique algérien. Il a été immédiatement chassé de la salle de conférence. L’Algérie a depuis le coup d’état militaire en 1963, un seul objectif: diviser, discrupter et destabiliser le Royaume du Maroc. L’Algérie a provoqué 3 guerres contre le Maroc à Commencer par la guerre des sables. L’armée Royale leur a donné une leçon et ont essuyé un échec qui resterait dans le coeur des cabranates d’Alger. Puis la guerre d’Amgala I et II , la dernière est celle de Gregate. Le Maroc faisait face à ces guerres sans soutien de quiconque alors que l’Algérie a toujours été soutenu par des pays dits révolutionnaires à l’instar de La Libye, Egypte, Syrie, Cuba, sans obtenir le moindre grin de sable du Sahara marocain. Par contre l’armée Royale dirigée par Driss Ben Omar a capturé 20 officiers dont l’ancien président Egyptien Hosni Moubarak et l’actuel chef des armées algériènnes CHENGRIHA SAID. Feu Hassan II que Dieu ait son âme en Sa Sainte Miséricorde les avait libérés à la demande du Rou Fahd de l’Arabie Saoudite. Anyway we as Moroccan people will never give an inch from our sand. ALLAH AL WATAN AL MALIK