Alors que le Maroc enregistre des performances économiques remarquables grâce à un secteur privé dynamique et diversifié, l’Algérie demeure prisonnière d’un modèle économique dominé par l’État, limitant ainsi son développement et sa compétitivité sur la scène internationale. C’est ce que met en lumière une analyse du magazine Jeune Afrique, qui souligne le contraste frappant entre les stratégies économiques des deux voisins maghrébins.
Un Maroc tourné vers la diversification et l’investissement
Le Maroc a su bâtir un environnement économique propice à la croissance en misant sur une politique d’ouverture et d’attractivité des investissements étrangers. Le royaume s’est positionné comme un hub économique en Afrique grâce à une stratégie ambitieuse qui repose sur plusieurs secteurs clés : phosphates, mines, industrie automobile, télécommunications, agroalimentaire… Cette diversification sectorielle confère au pays une résilience face aux crises mondiales et renforce sa compétitivité sur les marchés internationaux.
Le dynamisme du secteur privé marocain se reflète dans le nouveau classement des « 500 champions économiques africains », où le Maroc compte 54 grandes entreprises, contre seulement 13 pour l’Algérie. Un écart qui illustre la vitalité économique du royaume et sa capacité à attirer des investisseurs, en dépit de certains défis structurels, comme la taille restreinte de son marché intérieur et une croissance modérée. Cependant, grâce à des investissements continus et à une politique tournée vers l’Afrique, le Maroc est en mesure de surmonter ces obstacles et d’accélérer son essor économique.
Une Algérie enfermée dans un modèle étatique rigide
À l’inverse, l’Algérie peine à moderniser son économie et à opérer une transition vers un modèle de marché ouvert et compétitif. La structure économique du pays repose essentiellement sur Sonatrach, la société nationale d’hydrocarbures, qui génère l’essentiel des revenus de l’État. Toutefois, cette dépendance excessive au pétrole et au gaz expose l’Algérie aux fluctuations des cours internationaux et limite sa marge de manœuvre pour diversifier ses sources de revenus.
Le magazine Jeune Afrique souligne que l’Algérie doit impérativement enclencher une transition vers un modèle plus diversifié, avec un secteur privé dynamique et compétitif. Actuellement, le pays fait face à des entreprises publiques souvent inefficaces et à une bureaucratie pesante qui freine l’investissement et l’innovation. Tant que ces freins structurels ne seront pas levés, l’Algérie aura du mal à rivaliser avec des économies émergentes comme celle du Maroc.
Deux trajectoires, un avenir contrasté
L’écart économique entre le Maroc et l’Algérie illustre l’impact des choix stratégiques adoptés par les deux pays. En misant sur un modèle libéral, ouvert sur le monde et appuyé par un secteur privé performant, le Maroc consolide sa place parmi les économies les plus compétitives du continent africain. L’Algérie, quant à elle, doit encore relever de nombreux défis pour sortir de sa dépendance aux hydrocarbures et embrasser une modernisation économique qui lui permettrait d’exploiter son potentiel.
L’avenir des deux nations dépendra de leur capacité à s’adapter aux réalités du marché mondial. Si le Maroc poursuit sur sa lancée en attirant toujours plus d’investissements et en consolidant ses infrastructures industrielles, il pourrait conforter son statut de leader économique en Afrique du Nord. De son côté, l’Algérie est à un tournant décisif : soit elle amorce les réformes nécessaires, soit elle risque de voir son retard s’accentuer face à ses voisins et concurrents.
Salma Semmar
Les caporaux d’Alger sont restés fossilises dans le modèle soviétique économique et politique
Mettez vous à la page. Vous vivez dans l’intox et la désinformation.
C’est même déplacé et impertinent de comparer l’économie des deux pays.
Cela ne m étonne pas de l avis de jeune Afrique qui vit des subventions du Maroc
Pour lui l économie algérienne repose sur le pétrole et le gaz. Jeune Afrique doit s actualiser en s informant plus sur ce qui se passe en Algérie
Exemple des performances ciment , acier. Matériaux de construction , starte un , universités, agriculture .
En chiffres chiche exposer les chiffres : pomme de terre , œufs, viande, pommes, agrumes etc . Donner les chiffres de la fao.
Sans compter que le pib de l Algérie dépasse de loin celui du Maroc , pas de dettes extérieurs, chômage, niveau éducation etc…
Donc soyez juste et honnête mais vous ne l êtes pas car vous êtes un journal qui s achète au plus offrant. Et l Algérie vous a rejetée il y a longtemps .
Je reconnais la supériorité du Maroc pour les perfos tourisme, autmobile et le Bedrani main, car les profits ne profites pas au peuple marocain rien qu à voir le taux du chômage été
À votre dispo
Salutations
Tu veux des chiffres les voilà pib algérien hors hydrocarbures 5 pour cent !!!!!!!!
Jeune Afrique n est pas subventionner par le Maroc c est une press Française dédié à o Afrique
Tu veux d autre chiffre en voilà un 9 milliards de Dollars le coût annuel du Polisario à l état algérien ce qui fait 4 pour cent du PIB gonflé pat Tebboune 7 pour cent du PIB réel de o algerie des richesses algériennes jetté à la mer annuellement
Salutations
Du bla-bla donner des chiffres officiels
Et on verra la vérité des situations
Salutations
Aux médias algériens de faire une reponse
Arrêtez donc d’embobiner , plutôt de berner les pauvres marocains avec de fausses déclarations, d’articles de diversion, de chiffres erronés et d’informations « bidon » !
La réalité économique est beaucoup plus sombre que ce que vous dîtes :
Les marocains,et en grande majorité,sont démunis (23,96 % sous ou égal au seuil de pauvreté) .
L’état d’une autre partie 17,53% est classée entant que precaire (nécessite une aide sociale de l’état).
41,08% arrive juste à subvenir à ses besoins.
Les hausses des matières de première nécessité ont vu des niveaux inégalés,et ce depuis 2018 .Elles varient entre 29 et 235 %.
Les démolitions d’habitats de familles démunies et jetées à la rue sont passées de 1300 en 2018 à 13700 en 2024.
L’apparition d’une couche de sangsues (oligarques fidèles au Makhzen) qui ne recule nullement devant les cris de détresse de pauvres marocains.
Si vous avez raison pourquoi l’économie marocaine est au huitième rang africain alors que celle de l’Algérie est au troisième (voir les chiffres de la banque africaine et du PNUD)
L’Algérie, victime collatérale du modèle soviétique, concentre tous les pouvoirs dans les mains d’une « élite » 🤭 qui ajoute la haine de la France à la cupidité et l’inefficacité , le tout pour le malheur du peuple algérien.
Quel gâchis !