La ville de Fnideq s’est réveillée sous le choc, ce samedi matin, après un drame d’une rare violence survenu en plein cœur de la rue Mohammed V. Un camion, victime d’une défaillance mécanique, a terminé sa course folle contre la façade d’un café très fréquenté, provoquant un incendie meurtrier. Le bilan est lourd : quatre morts et huit blessés, certains dans un état jugé critique.
Selon les premiers éléments de l’enquête, le système de freinage du poids lourd aurait lâché alors qu’il circulait sur l’artère principale. Le conducteur, impuissant, n’a pu maîtriser le véhicule qui a percuté de plein fouet l’établissement, piégeant les clients attablés à l’intérieur. L’impact a immédiatement déclenché un feu violent, alimenté par les installations et le mobilier du café.
Les flammes se sont rapidement propagées à une habitation voisine, plongeant le quartier dans la panique. Alertées, les équipes de la protection civile sont intervenues en urgence pour maîtriser l’incendie et secourir les victimes. Quatre personnes ont perdu la vie sur place ou durant leur évacuation, tandis que huit blessés ont été transportés vers l’hôpital de Fnideq pour y recevoir les soins nécessaires.
Au-delà du bilan humain, les dégâts matériels sont considérables. Outre le café entièrement détruit, un hôtel et deux immeubles résidentiels situés à proximité immédiate ont été endommagés par la violence du choc et la propagation des flammes. Les autorités locales ont aussitôt bouclé le périmètre, interrompant la circulation pour sécuriser la zone et permettre aux secours de travailler.
Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes du drame et d’établir les responsabilités dans cette catastrophe qui endeuille Fnideq et relance le débat sur la sécurité des poids lourds en milieu urbain.
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Toujours la même excuse des freins qui ont lâchés ! A en croire les dégâts et le lieu (centre ville), ce n’est pas plausible. Il y a forcément une autre raison: vitesse excessive, …
Un bon article comme celui la, doit nous informer de la date et l’heure exacte de l’accident, puis en citant les secours, à quelle heure les pompiers étaient là et à quelle heure, ça été maîtrisé, même chose pour les ambulances et médecins dépêchés sur place.